Nous ne sommes plus soumis au danger, tel que l’Homme préhistorique l’était. Le but de notre cerveau est toujours de nous maintenir en vie, mais les situations extérieures ont pas mal évoluées depuis la découverte du feu… Plus trop de risque de rencontrer un animal féroce sur notre chemin dès que nous sortons de notre habitat (quoique certains individus pourraient s’apparenter à des animaux féroces, mais bon, passons…).
Cependant, nous avons bien gardé l’héritage des émotions, même si celles-ci se sont adaptées à notre environnement. Il est fort peu probable que l’Homme préhistorique vive une émotion intense de peur s’il devait parler en public, alors que de nos jours, c’est chose commune. Mais comme nous l’avons vu avec notre aïeul, l’émotion est directement liée à un besoin vital. Il est donc important de comprendre quel besoin se cache derrière chaque émotion. Et puisque notre cerveau nous guide au travers de nos émotions, autant commencer à les écouter afin d’être un peu plus « en vie » chaque jour.